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A toi...
21/10/2006 03:32
Rédigés en Juillet 2006.
N'ai-je pas assez montré? N'ai-je pas assez voulu?
Essayer et vouloir ne font pas vivre toute une histoire...
J'avais des rêves, nous avions des projets, tu avais des habitudes.
Alors Adieu, juste un mot que jamais je ne pourrai dire.
Une dernière fois, laisser les larmes s'échapper.
Pour que tout soit dit...
Je continuerai encore à me retourner, à tendre la main, à fermer les yeux pour attendre un baiser pour les rouvrir sur le vide.
Encore un temps.
Je continuerai à attendre que sonne le téléphone avec toi à l'autre bout. Attendre que l'on frappe au carreau. Attendre T'attendre.
Encore un temps.
Alors Adieu, juste un mot que jamais je ne pourrai dire.
Une dernière fois, laisser les larmes s'échapper.
Pour que tout soit dit...
Souvent j'avoue m'être demandé comment ça aurait été, le jour ou le boulot, les études iraient. Le jour ou on auraient vécu ensemble.
Comment ça aurait été?
Alors Adieu, juste un mot que jamais je ne pourrai dire.
Une dernière fois, laisser les larmes s'échapper.
Pour que tout soit dit...
J'ai vu beaucoup de toi, pas tout ce que j'aurai voulu, mais...
J'ai vu les larmes, les rires, l'inquiétude, la résignation...
J'espère que la suivante pourra voir la confiance et le désir que tu partages ta vie avec elle...
Avance,mais, mais ne m'oublies pas....
Dans ce chemin innatendu, un jour emprunté Dans l'inconnu qui s'offrait, alors on c'est lancé Dans la pénombre si habituelle, la lumière peu à peu est apparue Dans ce chemin on a grandit, mettant parfois nos âmes à nues. C'est fini. Dans les jeux de l'enfance, arrive l'adolescent, on quitte alors celui qu'on était Dans les livres, l'érudit s'ennivre, disparu alors la naïveté Dans la vie se perd l'innocence au détriment de nous, pour grandir Dans l'amour perdu s'oublies gentillesse et rêverie. Ici, comme tout fini, nous aussi. Dans ces quelques temps les orages on a affronté, ensemble Dans tout ça on grandissait, regardant le ciel, cette immensité bleu Espérant, du bout des doigts un jour la toucher Dans ces moments de passion, oú dans nos corps la chaleur s'exaltait. C'est fini. Dans la tension, les rires, le silence, rien n'a suffit Dans cela, je sais que ça a suffit c'est pourquoi c'est fini Dans nos têtes, nos coeurs tout est assez rempli. Ici, comme tout fini, nous aussi. Dans notre refuge, notre cocon, c'est à nouveau le noir Dans la lumière naissante qui a été étouffé par ceux que nous sommes Dans nos différences, avons-nous seulement essayé Dans nos âmes, nous avons partagé, c'est déjà assez semble-t-il... C'est fini. Dans les miettes qui restent de cette histoire, j'ai pourtant cru... Dans cette solitude si dure, j'ai pourtant espéré que... Dans ce refus si souvent énoncé, j'ai pourtant essayé de... Dans toutes les contradictions, j'ai pensé que lutter....alors peut-être. Mais Ici tout fini, Nous aussi.
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La médaille
21/10/2006 03:08
Avez- vous déja rêver avoir une belle-mère qui fait de bons petits plats, un beau-père qui es doué en travaux manuels? Et sont sympa avec vous! Qui n'a jamais voulu ça? J'ai eu ça mais si les contes de fée s'arrêtent à ils vécurent heureux, c'est parce qu'en racontant la suite, l'histoire perdrait sa magie, en disant que la belle famille, ne s'arrêtent pas là, vous devez faire, aussi avec celui qui juge sans connaître, celui qui alors que vous êtes dans un endroit magnifique, vous fait presque regretter le cadeau que l'on vous a fait en vous permettant d'être là. La Sardaigne quel endroit, splendide, et ou l'on se voit bien y couler ses vieux jours. Des mers belles, comme des cartes postales. Les montagnes, comme un pied à terre vous rapelle que vous êtes toujours sur terre d'une façon des plus agréables. La langue italienne, un délice tel une berceuse à vos oreilles, à condition d'être à plus de deux mètres de l'italien car contrairement à celui qui m'a fait découvrir cet endroit, ils ne parlent guère, mais crient plutôt. La langue n'en est pas moins belle. Mais comme je le disai il y a toujours une suite, des évènements, quelques minutes, suffisent à faire oublier à la belle au bois dormant, le décor, pour juste comme Cendrillion à ses trentes ans avoir vu le Prince Charmant son bel amant qui a foutu l'camp... Cette endroit ou vous vous étiez vu passer votre retraite, devient l'enfer de Dante, synomymes de tourments et de peines.
Vous aviez beau avoir des beaux-parents dignes du plus beau conte de Perrault, vous n'avez pas échapper à la morale de l'histoire : La médaille a Toujours un revers!
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